2021 – le projet LIBERTY 1886
suivez Didier sur Facebook :
https://www.facebook.com/groups/521635372160464
mars
En recherche d’une place pour laisser My Way en toute sécurité jusqu’au mois de Novembre, Marie et Michel en profitent pour me faire visiter les alentours. Ici le sanctuaire du 1er saint canarien, Santo Hermano Pedro que je vous laisse découvrir : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Pierre_de_Betancur


Lettre et dessins recueillis par Pascal Bonnardot (Dauphiné libéré), auprès des CM1 de l’école Jeanne d’Arc (Thonon les bains). Encore une bonne raison d’aller jusqu’au bout de ce projet . J’invite d’autres écoles à se joindre à nous et à nous envoyer leurs messages et dessins, que je mettrai dans la capsule temporelle
« Didier BovardL’année dernière, lorsque nous étions en CE2, Didier est venu dans nos classes pour nous parler de ses voyages.Il nous a montré un film sur la construction de son bateau-pédalo, son tour du lac Léman, son expédition jusqu’en Amérique.On a trouvé que c’était un peu fou de vouloir traverser l’Atlantique sur un bateau à pédales !Sur la maquette de son bateau « My way », il nous a montré où il dormait. Il nous a aussi montré les sachets de nourriture lyophilisée qu’il mangeait…Il nous a expliqué qu’il avait voulu installer un fond transparent pour regarder sous l’eau mais que la bulle s’était cassée au moment du tour du lac.Didier nous a raconté que, parfois, il devait faire plusieurs essais, et même faire demi-tour à cause des tempêtes et du matériel.Il paraît que sur l’océan, il n’avance pas tout droit pour éviter les grands courants. Il nous a aussi donné des souvenirs de ses anciens voyages… : sa rencontre avec « Noisette », un oiseau qui a passé plusieurs jours avec lui et qu’il a même réussi à caresser, ses aventures en Arctique (il s’était fait mal à la jambe à force de pédaler, alors les bateaux les plus proches sont venus l’aider…). C’est courageux de continuer malgré les difficultés et les blessures !A la fin de son intervention, on a fait un jeu dans lequel il fallait répondre à des questions au sujet de ses expéditions.Avant de nous quitter, Didier Bovard nous a demandé de faire des dessins et des lettres pour qu’il les emmène en Amérique dans une capsule temporelle qu’il déposera aux pieds de la Statue de la liberté en arrivant à New York. C’est sympa qu’il emmène nos dessins avec lui, comme ça, les personnes qui découvriront cette capsule à l’autre bout du monde pourront voir nos dessins et nos lettres.Bonne chance Didier ! »

Lettre et dessins recueillis par Pascal Bonnardot (Dauphiné libéré), auprès des CM1 de l’école Jeanne d’Arc (Thonon les bains). Encore une bonne raison d’aller jusqu’au bout de ce projet . J’invite d’autres écoles à se joindre à nous et à nous envoyer leurs messages et dessins, que je mettrai dans la capsule temporelle
« Didier BovardL’année dernière, lorsque nous étions en CE2, Didier est venu dans nos classes pour nous parler de ses voyages.Il nous a montré un film sur la construction de son bateau-pédalo, son tour du lac Léman, son expédition jusqu’en Amérique.On a trouvé que c’était un peu fou de vouloir traverser l’Atlantique sur un bateau à pédales !Sur la maquette de son bateau « My way », il nous a montré où il dormait. Il nous a aussi montré les sachets de nourriture lyophilisée qu’il mangeait…Il nous a expliqué qu’il avait voulu installer un fond transparent pour regarder sous l’eau mais que la bulle s’était cassée au moment du tour du lac.Didier nous a raconté que, parfois, il devait faire plusieurs essais, et même faire demi-tour à cause des tempêtes et du matériel.Il paraît que sur l’océan, il n’avance pas tout droit pour éviter les grands courants. Il nous a aussi donné des souvenirs de ses anciens voyages… : sa rencontre avec « Noisette », un oiseau qui a passé plusieurs jours avec lui et qu’il a même réussi à caresser, ses aventures en Arctique (il s’était fait mal à la jambe à force de pédaler, alors les bateaux les plus proches sont venus l’aider…). C’est courageux de continuer malgré les difficultés et les blessures !A la fin de son intervention, on a fait un jeu dans lequel il fallait répondre à des questions au sujet de ses expéditions.Avant de nous quitter, Didier Bovard nous a demandé de faire des dessins et des lettres pour qu’il les emmène en Amérique dans une capsule temporelle qu’il déposera aux pieds de la Statue de la liberté en arrivant à New York. C’est sympa qu’il emmène nos dessins avec lui, comme ça, les personnes qui découvriront cette capsule à l’autre bout du monde pourront voir nos dessins et nos lettres.Bonne chance Didier ! »
18 mars 2022
Écouter la voix de la sagesse
. À lire jusqu’au bout pour découvrir ma décision, après mûre réflexion, et découvrir pour celles et ceux qui ne connaissent pas notre parcours, que tous mes projets ont toujours été loin d’être un long fleuve tranquille, ce qui a fait que la réussite à toujours été encore plus belle
. Pour partir à l’aventure un jour, j’ai dû attendre mes 32 ans (je ne parle pas de filles
). 2 autres années pour trouver un constructeur et des sponsors pour le projet Evian-Memphis. Rallier l’Espagne puis le Portugal aux Canaries, quatre tentatives, en cause tempête et tendinites, avant de réussir en 27 jours (1998). Ma première traversée de l’Atlantique a échoué, enfin si l’on peut dire, puisqu’après 117 jours de mer et 5400 km, le courant marin nous a empêché de poser le pied à terre. On a dérivé en longeant la Martinique (où tout le monde nous attendait, dont Francis Westindies pour cette première mondiale), la Dominique, Marie-Galante et la Désirade (Guadeloupe), où l’on a mis à l’eau une grande barque appelée saintoise, avec de puissants moteurs, pour venir nous chercher. Nous étions à 100 km des côtes et nous étions repartis pour faire le tour de l’Atlantique. À son bord entre autres étaient le maire de la Désirade et le capitaine de gendarmerie. En 2001 l’Atlantique est franchi après 88 jours de mer jusqu’en Martinique et malgré des moments très chauds, il nous aura fallu 73 jours pour rallier la Martinique au sud de la Louisiane, plus 6 jours en vélo jusqu’à Memphis. En 2012 pour parler de la disparition programmée de l’ours polaire, le projet Icebear était né, celui de rallier le Groenland à la France. On a traversé le détroit de Davis et descendu la mer du Labrador, longeant les immenses icebergs et eu une forte émotion lorsque qu’une baleine à bosse est passée sous My Way
. Après avoir dépassé le cap Farvel au sud du Groenland une grosse tempête nous est tombée dessus, trente heures dans des vagues de huit mètres
à prier pour que My Way n’explose pas, avant d’être hélitreuillé au petit matin. La belle histoire, est que My Way parti à la dérive, le capot étant en plus resté ouvert, un chalutier groenlandais l’a repêché onze mois plus tard au large de l’Islande
. Le plus étrange est le nom de ce chalutier, « Polar Nanuq » (Nanuq signifie en inuktitut ours blanc, c’est un esprit de la mythologie Inuit). Après avoir laissé My Way en Islande pour rénovation, on faisait deux nouvelles tentatives en 2016, mais toujours après le cap Farvel des tempêtes nous empêchaient d’aller plus loin. J’ai dû pour l’occasion battre mon record de pédalage avec 36 heures non stop pour se réfugier dans un fjord. Il n’y a pas que le taureau rouge qui donne des ailes, la peur aussi
. Après trois tentatives et 2000 km sur une eau à 4°, j’ai compris que mère Nature nous envoyait des signaux, comme si une énorme patte d’ours nous ramenait sur le Groenland, pour nous protéger. Je l’ai écoutée, et n’ai pas insisté. Mais j’en garde de merveilleuses images. À l’automne 2020, notre tour du lac Léman en pédalant sous My Way, avec juste la tête qui sortait de l’eau, n’a pas été une partie de plaisir aussi. 14 kg de perdus en 11 étapes dénotent la dureté de l’effort. Cela m’a fait comprendre aussi que j’étais à l’aube d’une retraite bien méritée
. Mais chassez le naturel et il revient en pédalant.Pour arriver où on en est aujourd’hui depuis Paris, j’ai souffert, ainsi que My Way, toujours présent dans les coups durs et qui m’étonnera toujours dans les grosses vagues. Mais je ne suis pas un surhomme, partir aujourd’hui comme je l’avais espéré, aurait été pure folie. D’une part la météo ici dans le sud de Ténérife est instable, il est encore annoncé dans une semaine un fort coup de vent venant d’ouest. En début de semaine le dernier a fait quatre victimes d’après ce qu’on m’a dit, le vent ayant creusé la mer avec des vagues de 5 m près de la côte. Si le départ aura été un casse tête, n’ayant jamais eu le vent sur plusieurs jours pour prendre la meilleure des directions, l’arrivée estimée dans le mois de juillet avec de bons courants, devient très risqué. Et je parle d’une arrivée aux Antilles et non à New-York. L’angoisse durant plusieurs semaines aurait été permanente, celle qu’on m’annonce un cyclone
, la saison officielle commençant le 1er juin. D’autre part, par expérience et vous l’avez lu dans mon récit, et par les dires de pêcheurs martiniquais, à partir du mois de mai, on n’approche plus des côtes antillaises. Alors une nouvelle fois, je vais écouter mère Nature (et certains de mes amis, ce qui n’est pas coutume
), avant de prendre encore des risques, même si j’ai un pincement au cœur en prenant cette décision. Mais le temps fera son office, ce n’est que partie remise, dès le mois d’octobre je reviendrai et en novembre une fois les alizées bien établis, cette belle aventure continuera. Entre temps My Way sera mis en cale sèche et en sécurité. Il me faudra trouver un dessalinisateur pour l’alléger d’une centaine de litres d’eau que j’avais embarqué, pour gagner en vitesse. De retour en France en avril j’en profiterai aussi pour commencer le récit de ce projet et aller à la rencontre des écoles. Encore de belles choses à vivre. Je penserai aussi à bien soigner mon genou.Merci pour vos encouragements pour cette première partie et peut être pour la suite, on va se dire que le plus beau reste à venir, même si rien n’est jamais acquis d’avance, mais ça, ça doit être l’essence même de la vraie aventure
.

11 mars – Petite virée sympathique chez Carmen et Basilio.




février

28 février – Petite escapade aujourd’hui de huit heuressur les monts et le sol volcanique de la côte à l’ouest de Las Galletas. Quand je le peux je prends des renseignements sur les routes à suivre depuis les terres. J’ai remarqué qu’à la sortie du port il fallait prendre le large pour éviter que le courant nous ramène sur les récifs. Une fois le phare de la Rasca passé, la silhouette de l’île de la Gomera apparaît, nous montrant la route à suivre.


Quand un problème électrique survient, Michel saute sur son fidèle destrier, enfin dans sa fiesta et accourt cheveux au vent. Ici une amarre avait dessoudé le fil positif du panneau solaire.
Même l’horoscope nous suit de près Le Soleil
évolue en Poissons
jusqu’au 20 et, en tout début de mois, il encourage les démarches audacieuses, voire novatrices, il favorise votre expansion, qu’elle soit économique, sociale ou peut-être idéologique. Vous vous rapprochez d’un rêve mais restez réaliste pour ne pas vous égarer. À partir du 20, l’astre du jour
investit le signe du Bélier
où tout devient effectivement possible et peut être tenté !
25 février – Avant le départ de Las Galletas (Espagne), un petit retour en arrière, avec cette carte qui montre le chemin déjà parcouru par Didier. 3439 KM !!!!!











23 fevrier – Il nous aura fallut 16 heures de pédalage non stop pour enfin trouver refuge dans un port, mais réservés aux gros bateaux, il faudra attendre encore une demi heure pour avoir l’autorisation d’y rester. Heureusement car la nuit tombait et mon genou droit n’aurait pas fait un km de plus. Après une bonne nuit de sommeil aidée d’un anti-inflammatoire, on repartait plus vaillant que jamais aux premiers rayons de rejoindre le dernier port sur la côte sud de l’île, Las Galletas, porte donnant sur le grand large. Suivant mon instinct, aidé par la météo annoncée, je décidais d’y faire escale. Bonne pioche puisqu’en milieu d’après midi, le vent favorable depuis deux jours vira de bord en venant plein ouest. Continuer aurait été inutile voir dangereux, nous ramenant près de la côte. Aujourd’hui même type de vent, bien soutenu. J’en profite après la visite de Michel et Marie de faire du rangement, déjà le souk après seulement deux jours de navigation
. Ici je me sens mieux qu’à Santa Cruz, l’ambiance plus chaleureuse, déjà invité à dîner sur le bateau de Barbara et Philippe hier soir, sympathiques hauts savoyards d’Annecy. Maintenant le problème est simple, pour prendre le meilleur envole et passer entre l’île de La Gomera au nord et celle de Hierro au sud, il faut attendre « La calima, qui désigne aux îles Canaries un vent d’Est chaud et violent, chargé de sable et de poussière provenant du Sahara. Ce vent est particulièrement fréquent en hiver ». Donc « patience et longueur de temps, font plus que force ni que rage » comme le disait si bien tonton La Fontaine
. Et mon projet est avant tout un projet de rencontres et de découvertes en tous genres, et jusqu’à présent, je suis comblé. Pourvu que ça dure encore jusqu’au delà de l’horizon
.


Sur le départ du puerto de grenadilla, ce mardi matin, 22 février…
Nouvelle du soir (21 février) …. Après 15h de pedalage Didier est en sécurité dans un port pour la nuit. Il devrait reprendre la navigation demain très tôt et dispose d une fenêtre météo favorable de 3 jours pour rejoindre les alizés.
21 février – Michel de Ténérife, cibiste nous envoie les infos de cette journée, de départ.
Pour ceux qui suivent la carte de la balise de Didier, celle ci se met à jour toutes les 30 mn.

21 février – Malgré un début d’angine, je tente une sortie demain matin très tôt, profitant du faible vent, même si en fin de matinée il devrait nous pousser sur la côte. En milieu de semaine pas franchement bon non plus, puisque du NE (Nord-Est) se lève, on verra où il va nous emmener. Côté mécanique si un problème revient, Michel sur Ténérife est prêt à nous diriger sur un port. Je croise tout ce que je peux. Merci de le faire aussi
20 février – Une nouvelle fois Marie et Michel ont voulu m’inviter dans leur petit paradis sur les hauteurs de Güimar. Au petit déjeuner, croissants et petits pains au chocolat, et au déjeuner, pizzas fait maison. Quand je pense à ce que je vais manger dans le bateau .
MISE A JOUR EN DESSOUS DU 17 au 18 FEVRIER









17/02 L’aventure c’est l’aventure. Encore confirmé ce matin. À 4h30 debout après un dernier verre sur un catamaran avec un sympathique équipage franco-neuchâteloise, Laura, Aurélie et leur capitaine Philippe. Le vent étant tombé, c’était le moment de mettre les voiles, même si j’en avais pas. À peine sorti du ponton, premier déraillement, puis un autre et un autre après réglage. N’ayant pas mon ami Oberson Daniel concepteur de la partie cycliste de My Way des premières traversées, je ne comptais que sur le système D de Didier après être sorti du port un km plus loin et avoir de nouveau déraillé dans le ressac. De retour au ponton, je compris qu’ayant changé de plateau, passant d’un 50 à un 48 dents, la chaîne n’était pas adéquate, elle se trouvait trop grande ce qui me fit déraillé malgré un tendeur de chaîne. Après plusieurs essais, je décidais de comprimer au maximum le presse-étoupe pour permettre à une chaîne plus courte de se mettre en place. Maintenant tendue comme un string, aucune chance qu’elle ne déraille, le seul risque est qu’elle casse en pédalant. Le vent s’étant levé, je vais attendre demain matin si la météo est bonne pour refaire un essai, au cas où je devrais revenir encore au port
17/02 Merci pour vos derniers messages, mais je vais vous rassurer en vous disant que le départ est repoussé à lundi prochain. Pourtant je voulais partir demain matin, mais les plaisanciers avec qui j’ai discuté aujourd’hui m’ont déconseillé de le faire, la raison est qu’une grosse perturbation arrive dimanche
. On l’aurait prise de plein fouet entre Ténérife et Hierro et nous aurait fait descendre vitesse grand V dans le sud, et comme le Brésil n’est pas la destination…Lundi le calme revient, je vous donne un site sympa où l’on peut voir les animations météo sur la planète.
https://www.windy.com/?fbclid=IwAR0DyRC8Lm8e6fOh79rlU9VGe5MLuKwpCqakIe2VK6XSTKpbcZj0pRIySy4
16 février … Le départ prévu demain matin si le vent ne souffle pas trop, le problème est qu’à la sortie du port il souffle en direction des récifs. Déjà qu’aujourd’hui en voulant faire des photos le bateau s’est fait embarqué dans le port, aucune possibilité de le ramener à sa place, du coup je suis à un autre ponton après le refus des gardes port de me tracter. C’est une ambiance de non aide ici. Hâte de partir, même si la météo pour ces prochains jours ne sera pas toujours favorable, il faut s’attendre à être embarqué au sud, mais avant il faut passer les côtes de Ténérife sur plus de 80 km pas simple non plus. On croise les doigts




15/02 Petit break ce dimanche et lundi après avoir été invité par Marie et Michel, résidents français installés dans un petit paradis sur les hauteurs de Güimar, à une trentaine de kilomètres de Santa Cruz. Retraités heureux aux grands coeurs, ils m’ont fait passer un moment de franche rigolade, avant de penser au départ qui se précise .














Dyakuyu (merci) Yuriy.















Janvier

Décembre
Ces 2 derniers jours (7et 8 déc) … Didier va bien et il entame quelques mises à jour du My Way. On communique par téléphone et il a prévu de rentrer passer les fêtes en France !!! Il a pas l’accès au wifi sur l’île donc il ne peut pas encore lire tous vos messages… Je continue donc à faire l intermédiaire 🙂
[message du 06 décembre – Arrivée à Ténérife] – Didier Bovard
32 jours pour arrivée, 31 jours de galères, le dernier ne pouvait pas être autrement. Rével presque au pied du phare délimitant le nord de l’ile, puis 5 h debout sur les pédales avec une houle de 6 m qui avait tendance à nous diriger vers les falaises. Autant vous dire que les 20 km en direction du port, je n’étais pas frais, mais le plus dur reste à venir. Ayant une position GPS du port, je m’y fiais, mais arrivé devant-ci, l’entrée se trouve beaucoup plus loin à peut etre 300 m. Le courant venant contre la digue protégeant le port. Au bout d’une 1/2h à nous rapprocher dangereusement de la digue, je demandeais à un remorqueur de nous aider. Il me fit signe qu’il avait appelé quelqu’un et ne pouvait arrêter de pédaler, on atteignit la moitié de la distance, sans voir personne venir nous aider. Mais le pire restait à venir, le courant est devenu de plus en plus fort, je dû forcer plus sur les pédales, si bien que la chaîne saute une fois., puis deux et le temps de la remettre en place, on se rapprochait de la digue. A la cinquième fois, pljus le temps, obligé de prendre la pagaie pour ramer et nos écarter du mur. Je geulais tant que je mince au cas où derrière la digue, qulqu’un pouvait m’entendreet ce fut le cas, un petit atroupement se forma, certains avec des bouées prêt à me les lancer. La scène a durée presque 1 heure et voyant que les gardes-ports étaient trop de temps à arriver, ce sont des civils avec un petit zodiaque qui nous ont sorti de là. Je l’avais dit, jamais 2 sans 3, le cargo, l’hélico, le zodiac. Après une bonne douche et rasé de près, j’ai commencé à faire du rangement, je dois aussi vérifier l’électricité pour où est le problème, changer le pédalier et le roulement. Mes genoux doivent être aussi durement touchés. J’espère ne pas avoir poussé trop à bout. De ce fait, après quelques jours ici, je remonterai en France, passer les fêtes avec ma famille et trouver un ou deux sponsors. Encore merci pour vos encouragements et vos infos. Au fait la scène de la digue a été filmée.Je vais essayer de retrouver la personne et regarder sur les réseaux sociaux peut etre qu’elle faitle buzz !!!

message du 05 décembre
Navigation délicate houle de trois mètres ENE avec vagues croisées une s est même invitée à bord j ai dû éponger trois litres. Les gardes côtes de Tenerife suivent de près notre approche, ils m’ont demandé si j’avais besoin de quelque chose j’avais répondu une glace. Ce soir filmé une belle tortue lieu voir s il y avait à mieux sous la coque. Demain l’île va se dessiner sur l’horizon avec la météo annoncée qui va pas être simple d’arriver.

04 décembre …. La nuit dernière pris encore de belles déferlantes et dans la nuit, j’ai senti mes pieds mouillés … heureusement, après enquête, ce n’était qu’une bouteille d’eau qui s’était vidée . Aujourd’hui, sans doute la plus belle journée depuis le départ, après celle rock en roll d’hier cela fait du bien, et aussi parce que on se trouve à 100 km de Ténérife et au fait si quelqu’un peut me donner la latitude nord de l’ile sa serait bien sympa … c’est le point que je vis pour avoir une chance d’arriver au port de Santa Cruz.

SMS de ce 3 décembre … « Jamais 2 sans 3. Dimanche, je refusais de monter à bord d’un cargo dans une mer démontée, aujourd’hui c’est dans un hélicoptère MRCC, Las Palmas, contacté par un membre de l’équipe qui a hâte de me savoir en sécurité. Après presque mois de galère sur cette partie de l’océan qui nous a pas fait de cadeau, on doit nous laisser ce plaisir immense de voir enfin la côte se dessiner sur l’horizon après si l’on doit venir nous chercher pour nous aider à entrer dans un port, c’est que le job aura été fait. Encore un grand merci à l’organisation du sauvetage côté Français et Canarien, métier dont je serais toujours fan. »


[2 décembre] Navigation usante aujourd’hui, bon vent et houle de nord de 2 à 3 m mais vagues croisées. Contact du CROSS GRIS NEZ, centre de sauvetage basé dans le nord de la France. C’est une nouvelle fois Raymonde, une amie suissesse, qui mes a contacté, soucieuse de mes problèmes rencontrés avec mon matériel de communication. En 2012, elle avait déjà appelé GRIS NEZ qui avait organisé mon sauvetage en mer du Labrador, pris dans une grosse tempête. J’avais alors perdu My Way, puis retrouvé, 11 mois plus tard en Islande. Gros bisous Raymonde, et merci à GRIS NEZ de veiller sur nous. Ce soir, vent de 40 km/h, creux de 3 m, je sens que je vais encore bien dormir.
Message de ce 1 décembre
« Si la nuit derniere a ete calme celle qui vient risque d etre plus agitee. Nous sommes a une centaine de km de Lanzarote et estimer le jour d arrivee a Tenerife, l ile esperee je ne saurais le dire, comme personne ne peut me donner une tendence meteo sur cinq jours »


Novembre
[SMS] 30 novembre – Didier Bovard
Enfin une journée à pédaler dans de bonnes conditions, après 3 jours et 3 nuits cauchemardesques. Dimanche, un cargo d’une centaine de mètres a fait demi-tour, nous voyant dans des creux de 8 m mais j’ai dit que ça allait. La nuit My Way a été bombardée de déferlantes surpuissantes … je me demande encore comment il a tenu. Hier matin, amais vu sa, des creux de 10 m meme 12 que j’ai comparé à deux fois la longuey du bateau toute la journée. Je me suis tenu prêt à lancer un SOS et je me suis dit, si y a un cargo qui passe, je monte à bord. Un cargo est passé et je ne l’ai pas pris …




Samedi 27 nov à 17h30
Message de Didier
« impossible d’envoyer des news, sa bouge trop »


[SMS de Didier – 26/11/21]
Après une nuit calme, le vent a monté les tours creusant la houle jusqu’à des creux d’environ 7 m. Déferlantes et vagues croisées ont rendu la navigation extrèmement délicate, heureusement que j’ai une confiance aveugle dans My Way. Je croise un chalutier et un voilier et en voulant fermer précipitemment le capot pour éviter que de l’eau entre, je renverse la moitié de mon déjeuner sur mon tee-shirt et sur le plancher.

Jeudi 25 novembre, Didier a presque passé une nouvelle nuit blanche. Il a dormi qu’une heure juste avant de se lever. Vers deux heures du matin, il a entendu que sa frottait vers sa couchette … il a tout de suite pensé à une tortue. Au niveau des conditions de navigation, jusqu’en milieu de matinée de ce 25 novembre, grosse houle avec des vagues croisées, le forçant à rester un maximum vigilant. Il a aussi croisé un ferrie, venant surement des Canaries.

SMS de Didier… 24 novembre à 17h30
« Le courant fort de NE s est adouci en deuxieme partie de nuit me permettant de dormir un peu. Toute la journee pousses et meme souleves
par une grande maison. Impressionnant de se retrouver a au 5 m de haut et de dominer quelques secondes toute la plaine oceanique. Encore une tortue ce soir qui vient nous saluer »

mardi 23 novembre à 18h
« Nuit blanche à se faire chahuter sans arrêt. Au réveil fort courant de sud, reste debout dans la cabine, toute la matinée à regarder les déferlantes. Un cargo est passé non loin de nous ainsi qu’une petite tortue se jouant des vagues. A midi, un énorme grain s’est abattu sur nous, puis en débur d’après midi le vent du nord est enfin revenu, nous faisant reprendre notre route »

Les nouvelles de Didier Bovard, pour ce 22 novembre !!
Les courants sont toujours contraires, il en a un peu marre de cette situation qui force à tourner en rond. Aujourd hui pendant qu il dégustait des spaghettis aux maquereaux, un voilier s est approché, lui permettant de se délester au passage de 2 sacs poubelles de 50 l de plastiques… Peut être va t il revoir l équipage aux Canaries où je le rappelle il va faire une escale
[2eme partie de nuit, le vent est tombé mais un courant SE a résisté nous contraignant à prendre une diagonale pour grapiller quelques milles. Si vous pouvez nous envoyer une bonne Bise du Léman, ce serait sympa]
dimanche 21 novembre – didier bovard
Samedi 20 novembre,
Coryphenes d environ 50 cm sont installees je les vois a travers le hublot du plancher. (32.2265, -11.9203) – Didier Bovard
Conditions inchangees ne permettant pas de pedaler. Un enorme grain est passe deversant de la pluie pendant une dizaine de minutes. Sous My Way les dorades (32.2257, -11.9207) – Didier Bovard
19 novembre SMS de Didier Bovard
[Nuit trop calme le courant a tourne nous faisant perdre une douzaine de km si cherement gagne la veille. Toute la journee a eviter de perdre encore trop de terrain et j’ai mis une ancre flottante mais je m attends au pire. La belle image un papillon pendant que je mangeais, est venu sur mon pied a monté ma jambe avant de repartir.]
les news du 18 novembre !!
Pas trop le moral aujourd’hui sans musique ni cb journee tres tres longue heureusement a midi une dizaine de petits dauphins tachetes sont venus enus nous voir et en fin d apres midi, un contact etait tout proche avec un voilier mais il a continue sa route.
SMS du 17 novembre à 18h15- Didier Bovard
(Dans la nuit le vent a monte les tours nombreuses deferlantes sur la coque. Courant fort toute la journee avec vagues croisées plus dangereuses. A réussi a me casser un bout de molaire avec un grain de maïs)
[La nuit derniere a travers mon plancher transparent du plancton au moindre contact se transformait en gerbe d etoiles. En fin d apres midi une bande de marsouins viennent nous saluer nous gratifiant de 2 belles pirouettes] 16 nov 17h30 – Didier Bovard

Dans qq jours si tout va bien, Didier sera à mi chemin de la 1ère île des Canaries.
lundi 15 nov – 18h De Didier Bovard « Aujourdhui la mer fut un long fleuve tranquille peut etre une premiere nuit a dormir. On se trouve entre le rail des cargos a l est et Celui des voiliers a l ouest. J attends qu un vienne nous voir pour donner un grand sac de plastique pour faire de la place »
14 nov 2021 – J’ai reçu ce soir SMS de Didier Bovard qui est toujours en route vers les Canaries pour une escale technique !!!! »Nuit derniere My Way s est pris des gifles toute la nuit ce manque de sommeil devient pesant. Encore une tortue ce matin et un voilier au Loin. Fait l exploit ce soir de faire des spaghetti sans m ebouillanter accompagnees de terrine de Beaufort offert par Eric et ses enfants »


Nouvelles du 12 novembre …. » Pour cette semaine, visite surprise d’une tortue au petit déj. Vent du nord soutenu, avancée régulière. »

11 novembre à 18h SMS de Didier Bovard
/Nouvelles. la nuit derniere jai reve donc dormi un peu. je ne sais pas comment j’arrive encore a pedaler la journee devrait que ca dure/

10 novembre 2021 à 18h30
« News. Journee qui se termine encore sur les genoux et en feu. Difficile de faire glisser les 900 Kg de My Way sans l aide d un courant »
Didier Bovard
Les cartes sont réalisées par Éric de #eliseradio, c’est un gros boulot de précision car la balise gps embarquée de Didier ne marque plus les points de relevé dans l’océan ! Il faut donc qu Éric fasse chaque matin sur Google maps pro, la relation entre les données latitude longitude de la balise et le report du point sur la carte maps, que vous see sur l écran.

08 novembre 2021 … un NOUVEAU message de Didier Bovard !!!
[Du mieux hier vent moins et toujours dans la bonne direction dors toujours pas et avec feu flash pour les cargos ce jour]
[SMS de Didier Bovard] 07/11/21, Condition de mer tres difficile 2 nuits sans dormir mal de dos de mer de genou j espere qu il y aura du mieux.


Je vous tiendrai au courant à chaque fois que des nouvelles fraîches seront envoyées !!!



Aux nouvelles de ce lundi 1er novembre, il écope toujours de l’eau dans son bateau, et dort très mal depuis quelques jours, du fait des mauvaises conditions météos sur le port de Sagres.
Octobre
29 et 30 oct … Didier Bovard est seul à Sagres, Gérard étant repartit avec la remorque sur France. Hier, le bateau a été amarré au port à Sagres. Malhereusement, une fuite d’eau a été détecté par Didier !! Il a re-pensé à son press étouppe mais la fuite venait d’autre part. Avec des personnes belges et portugaises rencontrés sur place, il a pu acheter du matériel de réparation et colmater la fuite.Didier dort sur son bateau, et vit dessus, en attendant une fenetre de beau temps pour partir, et il attend également, la livraison de ses autocollants de son dernier sponsor en date, la région AURA.Le départ ne se fera pas avant milieu de semaine prochaine.
Didier Bovard est à Sagres (Portugal) d où il va prendre le départ pour la traversée de l Atlantique en direction de NY !!!
Quelques jours encore à terre pour préparer et ranger le bateau, tester une dernière fois les matériels de communication et les instruments de bord.
Puis attendre une fenêtre météo favorable de 3 jours d’affilé minimum et l’autorisation de la capitainerie de Sargues pour partir.
Nous vous tiendrons au courant, de la suite du grand défi sur ce groupe et le site internet didierbovard.com 🙂












Lundi 25 oct- Ola. Journée qui devait être tranquille avec un tracé suivant une nationale. Mais voilà, comme rien n’a été simple depuis le début, la journée tranquille c’est tournée en galère. La nationale par portion et on ne sait pourquoi, s’est trouvée interdite aux vélos sur plusieurs dizaines de kilomètres, nous faisant passer sur l’ancienne route juste à côté mais en piteux état. Lors de passages de village nous avons même rencontré des portions de routes en pavés. Le pire arriva en milieu d’après midi où de nouveau sur une route interdite aux vélos, et aucune autre qui partait dans la bonne direction, je dus faire au moins cinq kilomètres à pied à travers champs de maïs et d’oliviers avant de remonter sur la bécane et filer sur Castro Verde où l’on dors dans un camping. Dure journée, surtout que je suis arrivé avec un pneu crevé 🙄. On verra demain si c’est plus calme . Didier Bovard et Gérard



















17 octobre 2021 – SMS de Didier
Ola !! Arrivée au camping d’ Olite (Espagne), enfin de la wifi !! Journée de montée très raide sur plusieurs kilomètres pour sortir des Pyrénées. Ne pas s’inquiéter de la balise ce soir, je suis sorti d’Olite d’une quinzaine de km en vélo quand Gérard a rencontré quelqu’un qui lui a dit qu’il avait un camping à Olite, donc on a mis le vélo das la voiture pour revenir en arrière, et demain (lundi 18), je repartirai d’où je me suis arrété.








Ciao l’artiste et bon vent


C’était un réel bonheur de vous avoir, toi et Gérard, avec nous pour cette petite halte.





« Ce soir on dort au camping municipal d’Amboise en face du château où Léonard de Vinci mon idole a vécu ☺️ »


























Septembre
/https://eliseradio.com/wp-content/uploads/2021/07/ELISE-RADIO-INTERVIEW-DIDIER-BOVARD.mp3













Jeudi 16, invité à présenter mon projet au Cercle des Dirigeants d’Entreprises http://www.cdegeneve.ch/en/ à l’hotel Président Wilson de Genève. Rencontres sympathiques et enrichissantes entre passionnés.




Comme tout grand projet les imprévus sont au rendez-vous, et donc du retard dans le planning. My Way étant resté plus longtemps sur Suisse chez Bullet Liner pour assurer son étanchéité, la mise à l’eau n’a pas eu lieu et le reportage avec TF1 reporté à la semaine du 4 octobre, quand on voit le temps qu’il fait c’est très bien ainsi. Nous pourrons ainsi peaufiner la préparation du bateau avant des essais sur le Léman, avec l’installation de tous les instruments de bord et des nouveaux panneaux solaires installés dans la grange d’Eric Feig à Morzine. Un nouveau partenaire vient nous rejoindre avec les Eaux de Thonon-les-Bains qui nous offre 400 litres d’eau pour le voyage et le pilote pour conduire le convoi de Paris à Sagres, trouvé avec mon ami Gérard, qui a beaucoup de courage d’avoir pris cette décision

.


Il reste encore de la place pour d’autres sur la coque de My Way au cas où


Quelques mots échangés, une photo souvenir et l’aveu qu’il ne se lancerait jamais dans une traversée de l’Atlantique en pédalant 😁
Merci pour cette belle rencontre Jaja.


Août






Hello everybody. Quelques news fraîches et un message à passer et si le cœur vous en dit à partager. Merci d’avance. Pour la rénovation de My Way, n’ayant pas trouvé un chantier naval pouvant me faire le travail du collage et de l’étanchéité en epoxy, j’ai pris la décision de le faire moi-même, mais en colle hybride et en polyester. Ce dernier moins adapté en condition humide, mais il y a des solutions pour contourner ce souci. Je n’ai plus qu’à attendre mes commandes et de m’y atteler avec ferveur. Côté médias, après un excellent article dans French Morning, site d’actualités leader pour les francophones et les francophiles résidant aux États-Unis, ce matin un journaliste de TF1 m’a contacté pour un reportage en septembre. J’espère que cette nouvelle va booster ceux qui réfléchissent encore à devenir partenaires.
Je recherche pour le mois d’octobre une personne de confiance ayant le permis BE, pour tracter My Way de Paris à Sagres et ensuite revenir seule à Thonon-les-Bains. Cette personne devra aimer l’aventure autant que moi et me supporter car la route sera longue. Mais pas d’inquiétude, il n’y aura que moi sur le vélo . Si vous avez des idées ou des questions, n’hésitez pas à nous contacter.
.

Maxime Aubin – 19 août 2021



Merci Elvis pour ces années fantastiques

Aujourd’hui 16 août cela fait 44 ans que tu es parti, enfin c’est ce qu’on raconte, car tu es encore venu ce matin me pousser la chansonnette dans le bateau, histoire de m’encourager à continuer ce nouveau projet


Juste pour info. J’ai envoyé hier une cinquantaine de mails aux chantiers navals français et suisses du bord du lac Léman jusqu’aux lacs d’Annecy et du Bourget. Le but est d’en trouver un qui puisse me faire l’étanchéité du plancher de My Way et son aileron. Une petite matinée de travail. Jusqu’à présent quatre m’ont répondu par la négative. J’attends encore jusqu’au week-end prochain et si toujours pas trouvé, je prendrais mon courage à deux mains et surtout une solide protection pour m’attaquer à l’epoxy en espérant éviter l’allergie Sinon si vous avez une idée pour m’épargner ce calvaire, sautez sur votre clavier et dîtes-la moi sans trop tarder
. Merci.












Juillet


















» Quelques photos d’un projet réalisé fin juin autour du thème transatlantique. Un animateur Kapla a aidé les élèves de CE2 à bâtir une scène en planchettes de bois entre l’Europe et New-York. On peut voir la tour Eiffel et les immeubles parisiens, le tapis bleu pour l’océan Atlantique avec My Way au milieu se rendant vers la statue de la Liberté et les gratte-ciel. Un petit clin d’œil qui vous plaira certainement…
Les enfants sont vraiment entrés dans votre projet c’est beau à voir.
D’autre part, nous avons fini nos petites créations pour la capsule temporelle que nous vous enverrons très bientôt.
Audrey et Elodie. «























Je serai encore présent avec My Way demain, avant de participer au forum des associations, invités par la ville de Thonon samedi prochain




Juin


Merci à Aline Socquet, Olivier Jeandroz pour l’invitation et à tous pour ce soutien et ces belles rencontres


Un essai inscrit entre les poteaux et transformé de la plus belle des manières












Mai
















Cette troisième traversée de l’Atlantique aura un sens plus large puisqu’elle emmènera dans le sillage de My Way :
Des messages d’enfants qui seront scellés dans une capsule temporelle. Nous aurons ainsi pour mission de l’emmener aux pieds de la statue de la Liberté à New York 🗽
Un lycée professionnel pour la rénovation du bateau.
Un programme scientifique.
Et de la nourriture périmée embarquée pour dénoncer le gaspillage alimentaire.
Le projet Liberty 1886 est plus qu’un défi sportif supplémentaire, il se veut être un témoin du présent, pour les générations futures.
Didier